mardi 30 décembre 2014

Les meilleurs films de l'année 2014.


Pour conclure cette année charger en incontournable, chef d'œuvre, mais aussi bouse infâme, voici un classement des meilleurs films de l'année 2014.


dimanche 23 novembre 2014

[Critique] La prochaine fois je viserai le cœur. Fantasmagorique, poétique, rude.




"La Prochaine fois je viserai le cœur", nouveau bastion du cinéma couillu qui n'a pas peur de déplaire, de perturber et de briser sont spectateurs, entre expérimentation et polar à la Melville. Cédric Anger lui vise en plein cœur d'un nouveau genre puissant et franc qui ne laisse pas indifférent.


vendredi 14 novembre 2014

[Critique]Quand vient la nuit. Finesse d'écriture et beauté esthétique.


Michael RRoskam, réalisateur belge connue et reconnue après avoir donné naissance au génial et perturbent "Bullhead", revient pour nous prouver tout le talent dont il peut faire preuve, avec un savoir-faire rare qui plus est. Accompagné cette fois-ci de l'auteur Dennis Lehane, auteur à l'origine de la nouvelle "Sauve qui peut" dont le film est tiré, mais aussi du sublime "Mystic River", du non moins génial "Gone Baby Gone" et enfin du superbe "Shutter Island". Il est donc difficile de s'imaginer que "The Drop" (pour reprendre le titre original) puissent être mauvais.


Et ce n'est pas le cas, loin de là, "Quand vient la nuit" est d'ailleurs un des meilleurs films de cette année un peu tiède (voir terne). Et on le voit des les premiers instants, grâce à l'aspect visuel très travaillé, notamment avec les lumières très similaires aux effets d'un "Only God Forgive" ou de la filmographie général de Refn d'ailleurs, autant dire que c'est magnifique, d'autant plus que tout est fait de sorte que l'ambiance visuelle colle aux émotions du protagoniste, avec évidement comme couleur maîtresse: le rouge. Le cadrage n'est pas en reste bien que peut novateur, jouant sur les rapports de force principalement, le tout en 35 Mm.



vendredi 7 novembre 2014

[Critique]Interstellar: lorsque la réalité emprisonne l'ambition.


Tout le monde aime Nolan, moi y compris, tout le monde adule Nolan, Nolan serait le nouveau génie du cinéma contemporain, le réalisateur qui apporterait un nouveau langage à la grammaire Cinématographique.Or, le cinéma façon Christopher n'est finalement pas si compliqué à déchiffrer, pas si novateur, ce qui ne veut en aucun cas dire mauvais. Mais plus qu'un réalisateur du spectacle, Nolan est un réalisateur de composition, du récit. Étrangement, Interstellar ne suit pas vraiment cette lignée, alors que les bandes-annonces semblaient indiquées un film dans un style purement Nolanesque. Quand est-il finalement ?


dimanche 2 novembre 2014

[Critique] John Wick: Le grand retour de Keanus Reeves.


John Wick sort de nulles parts, vraiment, deux réalisateur inconnue (David Leitch et Chad Stahelski), anciennement cascadeur, qui attaquent un film d'action avec un budget misérable emportant avec lui un casting quatre étoile comprenant en tête d'affiche, Keanus Reeves dans le rôle phare. Si les inquiétudes sont de mise, l'espérance l'est aussi. Ce John Wick ne serait pas le tant attendus retour du grand Reeves ?


En tout cas, c'est ce que semblent promettre les premières minutes, presque gracieuses, relatant la mort de la femme du personnage éponyme, vient ensuite le protagoniste lui-même, dont la construction est plutôt simple mais efficace, le bougre, achevé, au bout du rouleau, trouve l'affection dans un chien, et le bonheur dans sa voiture, ou il y joue avec la mort, de très prés. Malgré leurs carrières inexistantes, les deux compères savent s'y faire.

mercredi 29 octobre 2014

[Critique]Magic in the Moonlight: Entre modernité naissante et retour au source.


 Woody Allen,génie du cinéma contemporain, et c'est peu dire, revient comme chaque année ( ou presque) nous donner rendez-vous, toujours plein de magie et de fraicheur, pour nous émerveiller. Et avec pas grand chose qui plus est.


Allen est connu pour nous offrir le haut du panier de la comédie romantique, est-ce depuis ses débuts, naviguant entre clichés bien placer et intelligence, mais le bougre est aussi connu pour être un réalisateur qui malgré 55 années de carrière acharnée continue à réaliser avec toujours autant d'entrain et de maitrise un film par année. Alors, le maitre incontesté du romantisme continue t'il toujours à nous éblouir ?


samedi 27 septembre 2014

[Critique]Sin City : J'ai tué pour elle: Un arriere goût de déja vue ?

 Robert Rodriguez et sont compère Franck Miller reviennent souiller, dix ans après, les salles obscures nous invitent à rejoindre de nouveau la ville du péché pour une aventure qui s'annonce pour le moins sanglante. Mais un sentiment de ringardise ne se fait-il pas, tout doucement, sentir ?

  
 Sin City, premier du nom avait marqué les esprits avec sont style visuel et narratif Comics / Film noir / Roman Graphique très prononcer. Ce premier essai avais donc globalement séduit le Public ainsi que la Critique, pour ce nouvel opus, rien n'est moins sur, après un bide des plus monumentaux, l'espoir fut vite remplacer par la crainte d'une déception. Mais rassurer 
vous, J'ai tué pour elle est loin d'être un mauvais film.